Soirée sadomasochiste

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soirée sadomasochiste de Lisa la soumise

Mon maitre et moi même allons vivre une soirée sadomasochiste. Il veut me donner du plaisir, me faire jouir, peut être va-t-il me faire découvrir un nouvel accessoire sm, ou bien me faire prendre conscience que je suis capable de me surpasser, tout ne sera pas bon à pratique pour mon développement de femme soumise.

Soirée sadomasochiste improvisée

Je passe une soirée simple avec Mon Maitre, autour d’un apéritif dinatoire que j’ai préparé un peu plus tôt dans la journée, rien ne prédit qu’une soirée sadomasochiste va se dérouler. Pour tout vous dire, Mon Maitre est épuisé et moi également toujours à cause de mon boulot qui me prends énormément de temps et d’énergie. Mon Maitre à vécu à la campagne et son père était éleveur / dresseur de chevaux. Il a appris tout jeune à utiliser la cravache ou encore le fouet (petite précision, le fouet n’est pas utilisé pour frapper l’animal mais juste pour créer un bruit sec qui accentue l’ordre donné par le dresseur). Nostalgique de cette période, il me montre comment utiliser ces accessoires sans blesser l’animal. En réalité cette démonstration ne durera pas bien longtemps et cette apéro va vite tourner en soirée sadomasochiste…

Le voir en train de claquer cette cravache dans la paume de sa main, réveille en moi un désir profond de femme soumise sm. Tout en le regardant fixement, je commence à me dévêtir. Je veux qu’il sache que même crevée par ma semaine de travail, je suis à sa disposition s’il souhaite me punir. Les coups de cravache dans le creux de sa paume deviennent plus secs, comme s’il voulait me passer un message « regarde ce qui t’attend Lisa ». Pourtant il hésite, j’ai le sentiment qu’il commence, il ne pourra plus s’arrêter

Je décide alors de prendre les devants, je lui tends mes seins, je recule bien mon minois pour éviter un accident. Je veux le rendre fier, je veux me surpasser, en aucun cas je ne reviendrai en arrière. Je l’invite explicitement à me violenter. Je n’ai pas vraiment besoin d’insister plus, le premier coup de cravache sm s’abat sur ma poitrine.  Je ne suis pas détendue, mon maitre doit faire attention à ne pas me cravacher le visage, je le laisse donc se concentrer au maximum.

Je commence à me vider la tête, me concentrant également sur les coups qui assaillent ma poitrine de plus en plus vites, de plus en plus forts. C’est la première fois que Mon Maitre ne me fait pas porter mon bandeau sexy, je le ressens, je suis mal à l’aise. Je regarde ma poitrine, rougeâtre, la cravache qui me fouette les seins de plus en plus fort. Je constate que Mon Maitre a une maitrise parfaite de l’objet, ses gestes sont très précis, je dirais presque mécanique. Je fais des exercices de respiration pour mieux encaisser les coups de cravache sm, cela me permettra de tenir plus longtemps. Je veux lui faire honneur, je veux être marquée par sa cravache pendant plusieurs semaines.

Ma petite chatte commence à s’humidifier, mon excitation grandit au fur et à mesure que les coups s’abattent sur moi. Plusieurs dizaines de coups se sont abattus, Mon Maitre me demande de me mettre debout, dos à lui. Je l’entends attraper le fouet sm qui est sur la table basse, je me demande vraiment ce qui m’attend pour cette suite de soirée sadomasochiste totalement improvisée.

Soirée sadomasochiste : dressage au fouet

Je suis de dos, il est pour moi impossible de voir Mon Maitre et ce qu’il prépare. Je suis impatiente que le premier coup s’abatte pour être fixée. Le premier coup s’abat sur moi mais à ma grande surprise, je ne ressens quasiment rien lorsque Mon Maitre me frappe pour les premières fois. Puis, la douleur se réveille et je commence à serrer les dents.

Mon maitre sait très bien se servir d’un fouet, et les coups se font violents, mon dos commence à marquer, mes fesses et mes cuisses aussi. Je n’arrive plus à faire mes exercices de respiration tellement la douleur est vive. Il m’ordonne de me mettre face à lui, les coups sont a présent horribles à endurer. J’arrive à me contrôler lorsque Mon Maitre frappe mon ventre et mes cuisses mais cela devient horrible lorsqu’il commence à refrapper ma poitrine. Je gémis à chaque coup. Cette soirée sadomasochiste va être fort en émotion, je m’en rend tout juste compte.

Il m’ordonne d’arrêter de gigoter, car il risquerait de rater une frappe et de me toucher le visage. Il a besoin de se concentrer, ses gestes sont précis et méthodiques.  Si je ne me concentrais pas j’aurais déjà hurlé.

J’essaie de trouver de nouvelles ressources au fond de moi, je me renferme dans ma bulle. Les coups sur ma poitrine s’enchainent rapidement, je ne dis rien, je ne bouge plus, je suis une vraie poupée soumise. Je morts ma joue pour m’empêcher de hurler.  Je suis tellement concentrée sur la gestion de la douleur que je ne vois plus rien autour de moi. Je suis dans ma bulle, seule, j’encaisse les coups en fermant les yeux, et j’attends que cela se finisse.

Mon Maitre ne cesse de me violenter encore plus fort. Il a remarqué que je suis absente et d’un ton sec me fait remarquer que je ne suis plus avec lui. J’ouvre les yeux, je le regarde, je vois bien qu’il n’apprécie pas mon attitude. Ce n’est pas ce qu’il attend d’une soirée sadomasochiste et encore moi de sa soumise.

Soirée sadomasochiste : j’ai honte de moi

Je me sens honteuse, je ne sais quoi répondre à Mon Maitre en colère. Je n’avais jamais été aussi concentrée pour gérer ma douleur, je me suis enfermée dans un mutisme et je n’étais plus présente pour faire partager mes émotions. Je ressens une vague d’émotion me submerger, j’ai les larmes aux yeux, j’ai gâché cette soirée sadomasochiste, je me dégoute d’avoir déçu Mon Maitre ainsi. J’essaie de m’excuser car je ne voulais pas le décevoir ainsi, mais il m’ordonne, fâché, de me mettre dos à lui, le cul en l’air.

Je ne me contrôle plus, j’ai peur de la punition de Mon Maitre, je sais que je vais en prendre pour mon grade à cause de mon attitude. Il cherche dans la boite à accessoires un nouvel objet sm, et je sens, je sais, que je vais être punie violemment, je ne voyais pas cette soirée sadomasochiste se terminer ainsi.

Mon maitre revient enfin, un martinet sm à la main. Je suis toute tremblante sur le sofa, je suis choquée par la situation, la tournure que prend cette soirée sadomasochiste. Le coup qu’il m’assène est tellement violent que je ne sais pas si j’arriverais à résister plus.

Je tente de ne pas le décevoir une nouvelle fois. Il continue de me frapper tandis que je commence à pleurer de douleur, cette soirée sadomasochiste n’est plus une soirée c’est un vrai calvaire, je n’aurais jamais du le décevoir. Je le supplie de m’excuser, mais il me donne à nouveau deux coups violents, que j’ai du mal à encaisser. Les coups deviennent tellement violents que je plis sous la douleur pour finir par m’effondrer sur le sofa.

Je rampe à quatre pattes jusqu’à la chaussure de Mon Maitre pour pleurer et lui demander pardon. Il m’en veut et je ne sais comment me faire pardonner. J’ai cherché à tout prix à lui faire plaisir en résistant le plus possible mais ce n’était pas ce que recherchait Mon Maitre je me suis trompée. Il voulait que je plie, que je ne contrôle pas ma douleur, que j’extériorise mes sentiments.  Comment vais je pouvoir lui expliquer que j’ai fais cela pour son plaisir ? Je suis à ses pieds, les yeux rivés sur le sol, j’ai tellement honte de moi.

Soirée sadomasochiste : je comprends l’enseignement de Mon Maitre

Mon maitre m’explique que ce qu’il a fait n’était pas pour me punir, il voulait juste que je me réveille, que je réagisse. Il avait vu que je n’étais plus là. Il voulait me rappeler à l’ordre car les coups sont fait pour être vécus à fond et non pas oubliés.

Il m’explique que je dois assumer ma douleur et aller au bout de mes limites. Il préfère que je m’effondre sous ses coups plutôt que de tenter de résister bêtement au point de me refugier dans une bulle vide et sans sensations.  Je dois à maitriser les coups, puiser l’énergie dans son regard, ou au plus profond de moi en étant présente. Je dois vivre la douleur et non là rejeter comme j’ai tenté de le faire au début de cette soirée sadomasochiste. Il me demande de lever mon visage, regarde mes yeux encore pleins de larmes. Son regard est profond et plein de bienveillance, il ne m’en veut pas.

Il m’aide à me relever, me prend par la main et m’amène dans notre chambre. Je me mets à quatre pattes pour bien mettre en vue mes trous de salope. Il me touche la chatte pour vérifier qu’elle soit bien humide.

Ce soir, j’ai compris que mes émotions me font aimer le fait d’être violentée, je suis battue pour son plaisir, pas pour me dire que je me suis surpassée ou que je suis forte. Il récupère un peu de mouille pour humidifier mon anus, et d’un coup violent, m’encule sans aucun ménagement. Cette soirée sadomasochiste improvisée va s’achever par un bon bourrage de cul. Je sens sa bite au plus profond de mes entrailles, les premiers coups de reins sont douloureux, je commence même à avoir les larmes aux yeux. J’adore me faire prendre le cul comme une salope en chaleur, j’aime quand il me déchire le trou, je me mets à votre place vous me prenez surement pour une dingue, mais c’est de cette manière que je jouis de l’anus. La douleur est horrible certes, mais je gigote mon cul pour m’empaler plus profondément sur sa bite. J’ai enfin mon orgasme, Mon Maitre continue de pénétrer mon cul de façon bestiale.

J’ai de plus en plus de mal à  résister face à la douleur. Malgré mais cris, il n’en a que faire. Il continue de me troncher le cul, me défoncer. Sa bite se contracte et je là sens énorme au plus profond de moi. Il finit par me remplir de son sperme chaud qui vient couler le long de mes cuisses encore meurtries par cette soirée sadomasochiste.

Il s’allonge à coté de moi, ses mains se baladent sur mon dos, mes fesses et mes cuisses encore bien marquées par cette soirée sadomasochiste. Je repense à ce qui s’est passé et je déteste décevoir Mon Maitre. C’était une erreur de ma part de me comporter ainsi je ne le referais plus jamais, c’est promis Maitre…

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