Etre une soumise humiliée

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Lisa, la soumise humiliée

Devenir une soumise humiliée est un acte assez courant dans le milieu SM. Cela peut se faire grâce à plusieurs pratiques qui seraient trop longues à détailler. Par ailleurs, ces pratiques sont très cérébrales, complexes à comprendre et très personnelles. On recherche un certain plaisir pour mieux apprendre à se découvrir, se rappeler que l’on est la soumise humiliée de son Maitre. La place de la soumise est au sol, léchant les pieds de son Maitre, cela permet de dépasser ses limites et être fière de soi.

Soumise humiliée : être sa chienne en publique

Devenir une soumise humiliée, signifie prendre du plaisir cérébral à se faire piétiner, rabaisser plus bas que terre. Il existe plusieurs techniques d’humiliation pratiquées par maitre et soumise. Par exemple, le Maitre Peut tout à fait ordonner à sa soumise humiliée de se mettre à quatre pattes pour se promener. En général, la soumise sera beaucoup plus dérangée par le fait d’être complètement nue et montrer à qui veut bien regarder que d’être aux pieds de son Maitre. Lorsque l’on est à quatre pattes on accepte d’être rabaissée, de se mettre en position d’esclave, ou de chienne chaude comme la braise, dont le maitre se servira comme bon lui semble.

A la maison, il est plus facile d’être une soumise humiliée car personne n’est là pour regarder, il est plus difficile par contre d’être à quatre pattes en publique et de me faire promener en laisse et collier sm par Mon Maitre lors de nos soirées. J’arrive encore à me rappeler la première humiliation que Mon Maitre m’a fait subir lors d’une soirée SM.

Avant d’arriver à cette soirée, il fallait se garer dans un parking et marcher un petit moment dans les rues pour atteindre le lieu. Mon Maitre, dès lors que l’on était sortis de la voiture, m’a mis mon collier de soumise et ma laisse sm. Nous avons rencontré que peu de monde dans les rues ce soir là, et il a été facile pour moi de faire abstraction des regards pesants. J’ai toujours été une femme provocatrice, les regards ne me gênent pas dans la rue, les gens sont d’ailleurs bien plus gênés que moi face à la situation.

Une fois arrivés devant le lieu où se déroulait la soirée, Mon Maitre m’a ordonné de me mettre à ses pieds. Lorsqu’il était au bar ou qu’il discutait, je devais toujours être à ses pieds, ne jamais m’asseoir mise à part sur le sol.

Personnellement, je me sentais bien dans cette position de soumise humiliée. J’étais tout simplement moi, mais le regard des gens pouvait me mettre un chouilla mal à l’aise vu l’insistance, c’est comme s’ils découvraient une espèce rare chez les animaux, juste affreux…

Pourtant, je n’étais pas plus provocante que cela, nous étions bien dans une soirée maitre et soumise, ces gens étaient censés pratiquer la même chose que moi. Je me dévoilais, à quatre pattes, sous les yeux de toute l’assemblée, le cul cambré et la tête relevée, je gardais ma fierté. Comme à mon habitude, cette situation me trempait la chatte, j’étais une soumise humiliée et je le montrais à tout le monde ce soir là, une excitation de folie s’empara de moi.

La situation est différente lorsque Mon Maitre et moi sommes entourés de personnes ne pratiquant pas le BDSM. Il m’arrive, lors de nos promenades, de porter mon collier de soumise. C’est d’ailleurs la première chose que les « bonnes » gens remarquent. En moyenne, je vois plus de femmes choquées que d’hommes, les hommes sont excités à la vue du collier sm. J’essaie d’imaginer les pensées des gens, les femmes se battent pour être libre donc souvent elles me jettent des regards froids assez difficile à accepter en tant que soumise.

Je pourrais être gênée, on me juge sûrement, mais j’en tire une immense excitation et je n’arrive même pas à expliquer pourquoi. Peut être que je suis une provocatrice dans l’âme et choquer les gens me plait. Il est vrai que lorsque cela m’arrive j’ai l’estomac noué, mais j’arrive à vite reprendre le dessus grâce à Mon Maitre et son instinct protecteur.

Le moment le plus excitant est lorsque j’arrive à déstabiliser les hommes. Lorsqu’ils sont en train de manger au restaurant et que leur cuillère n’est même plus capable d’atteindre leur bouche. Etant alors obligés de faire comprendre à leurs compagnes que cela les répugnes alors qu’au fond je suis sûre qu’ils aimeraient me prendre violemment.

Ma place de soumise humiliée est aux pieds de Mon Maitre, c’est là que je me sens bien, je me sens moi, à exciter la populace. Il existe bien sûr, d’autres pratiques pour devenir une soumise humiliée. On peut citer, par exemple, l’utilisation d’un spéculum ou encore le port d’une cagoule sm. J’ai découvert l’utilisation du speculum vaginal avec Mon Maitre, et depuis quelques temps, nous sommes passés au speculum anal.

Soumise humiliée : mes orifices pour satisfaire Mon Maitre

La première fois que nous avons utilisé un écarteur vaginal, j’ai ressentie un sentiment très fort d’humiliation. Je me retrouvais jambes écartées, ouverte tel un simple trou béant et pourtant je mouillais comme une chienne. Lorsque Mon Maitre me disait combien je mouillais, j’étais encore plus excitée, de plus en plus chaude rien qu’à entendre ses mots. J’aurais voulu à cet instant qu’un groupe de mâles en rut se branlent sur moi jusqu’à ce que j’explose de plaisir. Je pris pleinement conscience de ma position de soumise humiliée.

Concernant la cagoule sm, je dois avouer qu’étant très coquette, je me demandais à quoi j’allais ressembler avec cet accessoire sm sur le visage. J’étais une soumise humiliée, je devenais un simple trou sans visage, mais je mouillais toujours énormément ne sachant même pas ce qui me faisait mouiller, je l’ai compris avec le temps. Grâce à cette cagoule, je me transformais en une simple petite bouche à défoncer. J’avais le sentiment de n’être qu’une bouche servant à faire du bien à son Maitre. Le plus compliquée est de s’avouer que l’on aime cela, être utilisée par son Maitre tel un objet, une simple vide couilles.

Soumise humiliée : devenir l’urinoir de Mon Maitre

J’ai aussi appris à devenir une soumise humiliée lorsque Mon Maitre m’a uriné sur le corps. Je suis devenu son urine, je baignais dans ce liquide jaunâtre. Il m’arrive même d’avoir envie de boire ce liquide, de m’en délecter. Pourtant, il me serait impossible de pratiquer l’uro avec un autre homme. Ce plaisir est réservé exclusivement à Mon Maitre

Je suis très demandeuse et j’attends avec impatience le moment où Mon Maitre m’ordonne d’ouvrir grand la bouche pour me verser son liquide chaud dans la bouche. Je sais que cette pratique est immorale, mais je suis tellement excitée que les questions d’ordre éthique passent au second plan. Je suis une soumise humiliée par son Maitre, je reçois son urine en pleine bouche, plus il m’humilie plus je mouille.

Au fond de moi, je suis une petite souillon mais je suis prête à accepter tout ce qui vient de Mon Maitre, je veux tout de lui, que son liquide coule le long de ma gorge. Lorsque l’acte se termine, je suis heureuse et satisfaite de baigner dans son urine. Je sens que Mon Maitre a marqué son territoire, il montre que je lui appartiens. Lorsque je fais cela, les valeurs, la morale tout disparaît, je suis une soumise humiliée aux pieds de son Maitre.

Soumise humiliée : le fantasme du gang bang

Il m’est arrivée plusieurs fois de m’imaginer prise par plusieurs hommes. Cela me donne très envie mais sans la présence de Mon Maitre cela ne serait même pas envisageable. Ces actes et fantasmes ne deviennent excitants que lorsque Mon Maitre est présent. Ce n’est pas l’acte en lui même qui m’excite, c’est plutôt le fait de me surpasser pour faire plaisir à Mon Maitre.

Dépasser ses limites c’est accepter d’être une soumise humiliée, être capable d’aller toujours plus loin pour son Maitre. Je m’imagine attachée, prise à la chaine par plusieurs hommes. Me sentir remplie par leurs membres, Mon Maitre observant la scène avec fierté. Terminant couverte et pleine de leur semence.

Avec Mon Maitre je n’ai jamais eu de limites, j’accepte tout en permanence. Devenir une soumise humiliée c’est rechercher une méthode pour toujours plus se dépasser, montrer à son Maitre que l’on est capable de tout pour lui, et que cela nous procure un immense plaisir d’exécuter ses ordres. L’humiliation se transforme pour moi en plaisir, un immense plaisir d’être traitée comme la bonne chienne que je suis.

Quand Mon Maitre me rabaisse, je ressens une fusion entre nous ce qui me permet de mieux accepter la situation. Je ne pourrais pas me faire rabaisser de la sorte par quelqu’un que je ne connais pas. Cela me ferait du mal psychologiquement et je n’en ai d’ailleurs même pas envie. Je n’accepterais de me faire rabaisser par un inconnu que si l’ordre venait directement de Mon Maitre. Une soumise doit apprendre à se surpasser pour son Maitre.

En me rabaissant, il veut que je me dévoile, que je sois moi-même, que j’accepte mes désirs de soumise humiliée.

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